La Bourse de Paris clôture en hausse de 0,6% pour cette dernière séance de la semaine. Mais en rythme hebdomadaire, le bilan reste négatif pour le CAC 40 (-0,77%) qui a été chahuté par les craintes sur les taux et l’inflation.
Les investisseurs ont dû faire preuve de patience et attendre la dernière séance de la semaine pour voir la Bourse de Paris prendre une teinte bien verte.
Hésitante en début de parcours, la place parisienne s’est relancée dans l’après-midi portée par des rachats à bon compte à New-York. Notamment sur Apple qui reprend des couleurs après avoir englouti pas loin de 200 milliards de dollars de capitalisation boursière en deux jours, à la suite d’informations de presse du Wall Street Journal concernant la Chine.
La Bourse de Paris a clôturé en hausse de 0,6% lors de la dernière séance de la semaine. Cependant, le bilan hebdomadaire du CAC 40 reste négatif (-0,77%) en raison des craintes concernant les taux et l’inflation. Les investisseurs ont dû faire preuve de patience jusqu’à la dernière séance de la semaine pour voir la Bourse de Paris prendre une teinte positive.
Au début de la journée, la place parisienne était hésitante, mais elle s’est ensuite relancée grâce à des rachats à bon compte à New York. En particulier, les investisseurs ont repris confiance dans Apple, qui avait perdu près de 200 milliards de dollars de capitalisation boursière en deux jours en raison d’informations de presse du Wall Street Journal concernant la Chine.
La légère détente sur les rendements obligataires a également soutenu les Bourses européennes, avec un taux du Bund allemand à 10 ans qui est passé de 2,657% en milieu de semaine à 2,6010%.
Le CAC 40 a clôturé en hausse de 0,62% à 7.240,77 points le lendemain d’une clôture à l’équilibre (+0,03%). Cependant, le bilan hebdomadaire reste négatif (-0,77%) en raison des craintes concernant la situation économique en Chine et en Europe, ainsi que des signes de tensions inflationnistes.
La Banque centrale européenne tiendra sa réunion de politique monétaire la semaine prochaine, le 14 septembre, et selon une enquête de Reuters, la majorité des économistes s’attendent à un statu quo sur les taux. La Réserve fédérale américaine rendra son verdict sur ses taux directeurs une semaine plus tard.
