Le président de la confédération suisse a déclaré hier mardi que la disparition du Credit Suisse, qui a été racheté par son rival UBS, “n’est pas celle de la Suisse”, soulignant qu’une faillite aurait eu des conséquences catastrophiques pour le pays helvétique.
«La disparition du Credit Suisse n’est pas celle de la Suisse, c’est la disparition d’une banque, une grande banque mais d’une banque uniquement, ni plus ni moins», a déclaré Alain Berset à l’ouverture d’une session extraordinaire du Parlement.